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mon travail de voyance

médium italo-eurasienne

ce qu'il faut savoir de moi

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Question Voyance pour entrevue

1. Comment avez-vous découvert votre don (élément déclencheur)?

toutes les femmes de ma famille ont ce genre de don: médiumité, clairvoyance, clair-audience, nous pouvons aussi bien prévoir la destinée que parler aux défunts.Lorsque j'avais trois ans , mon père m'a entendu parler dans ma chambre, il n'entendait pas la personne me répondre aussi il est venu me demander si je " parlais à mon " amie imaginaire", je lui ai répondu que je n'avais pas d'amie imaginaire, que je parlais à louise, elle me disait qu'elle était ma demi-soeur. Je vis le visage de mon père se décomposer car il ne m'avait jamais parlé de cette enfant morte en 1954 d'une leucémie foudroyante lorsqu'il était prisonnier de guerre suite à la défaite de DYEN MYEN PHU . Par ailleurs , à chaque fois que nous avions à rencontrer une personne nouvelle ou quelqu'un que nous ne voyions que très peu souvent je percevais des choses très précises qui se passaient dans la vie de ces gens. Et un jour pour un carnaval, j'eu l'idée vers l'âge de sept/huit ans de me déguiser en bohémienne et je fus emmenée à dire ce que je percevais à de nombreuses personnes qui très peu de temps après vinrent dire à mon père que ce que j'avais prédit c'était passé au détail près.

Mon père savait très bien que ma mère était médium, ainsi que mes deux grands-mères, il eut vite fait de faire " le rapprochement". Il était en effet scientifique et bien que français travaillait en collaboration avec le gouvernement américain qui accordait depuis Edgard Allan HOOVER beaucoup d'importance à la médiumité.

Beaucoup d'amis de mon père appréciaient les médiums et même si je n'étais encore qu'une enfant, beaucoup de personnes me rendirent visite pour que je leur fasse des voyances en conséquence de quoi je fus vite en mesure de me constituer une vaste collection de poupées toutes plus élégantes les unes que les autres.

Toutefois lorsque j'eus douze ans j'avouais à ma mère que je voulais être voyante professionnelle, en faire mon métier: celle- ci me le déconseilla étant donné les préjugés qui règnaient alors en France dans les années 70 et qui sévissent encore parfois. Il faut décidé que je ferais de hautes études étant donné mes bons résultats scolaires. Je devins directeur des ressources humaines mais lorsque l'usine près de laquelle je travaillais explosa le vendredi 21 septembre 2001 à 10H17 je fus terriblement blessée mais je réussis toutefois à me réveiller du coma quelques jours plus tard. J'en avais réchappé mais j'avais vécu une expérience de mort imminente qui avait ravivé mes flashs et ma clairvoyance: l'évidence s'imposa alors et depuis presque quatorze ans j'en fais mon métier.

2. Comment vivez-vous avec votre don dans le quotidien?

Je le vis extrêmement bien car j'en fait mon métier toutefois apprendre à gérer ses flashs fut un apprentissage de longue haleine fait de méditations et de conseils de mes grands-mères.Souvent la nuit, je fais des rêves prémonitoires mais j'ai aussi la visite de mes ancêtres défunts ou bien d'autres défunts que je ne connais pas encore. Quoiqu'il en soit ça a toujours un rapport avec mon travail alors aujourd'hui à quarante-sept ans je le vis très bien.

Evidemment, dans le domaine de la voyance on rencontre aussi des personnes qui essaient de vous extorquer des voyances gratuites sous prétexte que ce don étant une bénédiction, nous devrions en faire partager gratuitement les autres. Comme je l'ai dit il s'agit tout de même d'un long processus évolutif mais aussi du fruit du travail des incarnations passées qui nous permet de travailler dans ce domaine, il y a comme dans la plupart des travails une pénibilité à l'effectuer du coup il est normal d'être rémunéré: tous les américains, les canadiens, les italiens le comprennent en revanche la FRANCE reste encore un peu fermée au domaine de l'occulte malgrè une évolution réelle qui fait que si nous travaillons avec hônneteté et franchise nous pouvons tout de même travailler sans problème dans ce domaine et de façon tout-à-fait régulière.

3. Quel est le plus gros impact que vous avez eu dans la vie d’une autre personne?

Il est au jour d'aujourd'hui difficile de répondre tant le nombre de personnes qui me consulte est important. J'ai appris au contacts des consultants qu'il y une grande infinité de caractères, de personnalité: j'ai appris à croire en l'être humain et à faire preuve de compassion. A travers tout ce que perçois dans les consultations j'ai eu la chance de percevoir combien les personnes pouvaient être parfois fortes dans des situations difficiles. Au jour d'aujourd'hui c'est plus la voyance qui toute ma vie n'a cessé de me choisir que moi qui l'ai choisie et il y a quatorze ans j'ai fini par lui laisser une très grande place, dire que j'ai eu un grand impact dans la vie de mes fidèles clients serait prétentieux, je dirais davantage que le fait de les aider à y voir plus clair dans leur vie a été et reste pour moi une merveilleuse expérience.

4. Est-ce que votre don créer des impacts négatifs (craintes, peurs) dans votre vie ?

Comme je vous disais apprendre à gérer ses flashs quand on est enfant, voir surtout adolescent n'est pas simple c'est tout un apprentissage mais il faut aussi apprendre qu'il y a certaines pratiques fortement déconseillées telles que les retours d'affection ou le spiritisme bien qu'on puisse très bien en tant que médium rentrer en contact avec un défunt à la demande d'un consultant car la plupart du temps le défunt est ravi de pouvoir utiliser le vecteur du medium pour communiquer à sa famille ou amis.

C'est là où la pratique du spiritisme diffère un peu de la communication directe avec un défunt et je l'ai appris à mes dépends lorsque j'étais adolescente en même temps que l'aspect dangereux de la pratique du retour affectif.

En effet, en ce qui concerne le spiritisme, la fois où je l'ai pratiqué , je n'avais pour ma part fait appel qu'à ma grand-mère défunte, je savais donc qui j'appelais et sur quel niveau d'astral je me trouvais. Par contre, ce jour là, d'autres personnes étaient donc présentes et ont voulu appeler des esprits au hasard: c'est là où réside le danger, lorsqu'on ne sait pas qui on appelle on peut très bien capter des esprits de bas astral, voir démoniaques. Quoiqu'il en soit c'est parce qu'on ne m'a pas laissé mener la séance toute seule, que d'autres jeunes qui n'étaient pas médiums s'étaient procuré des instruments que l'on appelle " wi-ya" et c'est là que cela devient dangereux car le médium est comme un guide de haute montagne qui sait ce qu'il fait et où il va , et sans son aide, des soucis et des manifestations désagréables peuvent subvenir. Ce jour là si j'avais pû mener la séance toute seule sans que les personnes non médiums n'exhortent au hasard les esprits , nous aurions évité les terreurs nocturnes qui suivirent mais qui furent toutefois atténuées grâce à mon fluide médiuminique ( comme on peut d'ailleurs avoir la confirmation à travers les travaux du grand spirite ALLAN KARDEC)qui avait agit comme un cataliseur en faisant disparaitre les présences d'esprits démoniaques ce que je perfectionnais plus tard en étant reconnue exorciste laïc pour l'église catholique.

L'exorcisme en l'occurence peut s'avérer dangereux certes en fonction des diverses forces démoniaques auxquelles on peut être confronté toutefois la connaissance parfaite de cette pratique préserve de bien des déagréments qui peuvent s'avérer lourds de conséquences sur l'intégrité et la sécurité des personnes présentes lors de l'exorcisme.J'avoue avoir eu peur lorsqu'un jour je fus emmenée à exorciser une habitation où jadis se trouvait une église qui fut brulée lors de la guerre de 1870 car l'âme de la personne qui ce jour là avait trouvé la mort ce jour dans le feu était très en colère et voulait attirer d'autres âmes avec elle, heureusement j'ai réussi à me sauver.

A contrario le retour d'affection, même s'il n'a pas comme conséquence une violence absolument directe induit forcément un gros aspect négatif qui peut avoir des conséquences terriblement néfastes aussi bien sur la personne demandeuse que sur la personne qui effectue cette opération. Cela est considéré comme un acte de contrainte très proche de la magie noire donc très négatif, cette opération n'est pas par ailleurs quelque chose qui apporte une durabilité dans le temps car c'est considéré comme un acte de contrainte: on ne contraint pas quelqu'un à aimer quelqu'un d'autre.

Quand bien même si dans certaines cultures on ne considère ceci que comme un philtre d'amour, je me refuse catégoriquement à l'effectuer car c'est contraire à ma manière d'envisager l'usage de mes dons.

5. Avez-vous des dons qui sont plus forts ou plus faibles?

En réalité , plus la personne est confiante par rapport à la voyance, plus est à l'écoute du voyant , plus précise je serai. Cela est peut-être du à mon ascendant capricorne, mais si je ressent la personne en pleine confiance je pourrai répondre à toute question de tout ordre sentimental, professionnel, grossesse ou communication avec les défunts.

6. Quel est l’outil que vous préférez travailler ou qui a le plus de résultats? Pourquoi?

Lorsque j'étais enfant, immédiatement mes flashs de clairvoyance et de clair-audience me permettaient d'effectuer des voyances exactes toutefois après quelques discussions avec mes grands-mères j'envisageais d'adopter les tarots comme supports de mes flashs alors bien sûr après avoir examiné l'infinité de tarots qu'il pouvait existait mon choix s'est porté sur deux jeux de tarots plus spécialement même si j'en utilise plusieurs autres de manière plus anecdotique.

Ainsi mes deux jeux de tarots favoris sont : le tarot de la triade parce qu'il est composé de divers symboles issus de religions diverses, formes de pensée et philosophie et qu'il aide à dénouer les situations en apparence bloquées mais j'aime aussi le tarot Noir de Marseille car il s'agit d'une édition particulière de ce jeu qui a été commercialisé au 19ÈME siècle à Marseille mais dont on trouve les toutes premières imageries dès le quinzième siècle dans les calles des bateaux dans les ports de lombardie, province d'italie du nord dont ma mère est originaires. En réalité les tarots illustrent toujours à merveille mes flashs c'est pour cela qu'ils constituent mon outil de travail préféré.

7. Comment votre entourage vie avec votre don?

Au jour d'aujourd'hui même si ma mère m'avait déconseillé de faire ce métier dans les années soixante-dix à cause des préjugés qui étaient alors véhiculés en france elle est ravie aujourd'hui d'autant que mon don est héréditaire depuis cinq siècles. Je reprends donc la relève de la tradition familiale. Mon conjoint , est très enthousiaste par rapport à mon métier et m'y encouragé dès le début.

8. Pouvez-vous voir votre futur personnel?

je peux avoir des prémonitions mais tout petite déjà un cousin qui était voyant pour le président MITTÉRAND m'avait dit qu'on ne pouvais rien voir pour nous même car c'était trop subjectif. Ceci m'a en effet été confirmé par des collègues voyants qui me consultent et pour ma part je consulte ma mère qui elle aussi a des perceptions très justes.

9. Avez-vous déjà eu des visions que vous n’avez pas osez dire? Si oui, pourquoi?

Je me refuse de dire à une personne qu'elle va mourir, je ne peux le dire.

10. Quelle est votre spécialité?

J'en ai plusieurs: je peux voir la destinée sentimentale mais aussi professionnelle , les issues de conflits de toutes sortes, les grossesses grâce à mes flashs et mes cartes mais je peux aussi communiquer avec les défunts grâce à ma médiumité, ma clairvoyance et ma clair-audience. Je peux aussi enlever les mauvais sorts, la magie noire, le vaudou: c'est ce qu'on appelle le désenvoutement tout aussi bien qu'effectuer

un exorcisme c'est-à-dire enlever des possessions démoniaques, je suis pour cela reconnue par l'église catholique.

11. Avez-vous des outils que vous êtes incapable d’utiliser?

J'avoue que le pendule , cela ne me " parle pas", je préfère les cartes car le consultant peut immédiatement constater que ma certe illustre parfaitement mon flash.

12. Avez-vous une idole dans le domaine de la voyance?

Ma grand-mère Térésa Comtesse COLLEONI, ainsi que ma tante MARGRITTE GRUBER

Elles étaient de puissants médiums et m'aidèrent beaucoup dans mon enfance et adolescence à assumer mes dons.

13. Est-ce qui a un élément qui vous aide à votre concentration?

J'ai juste besoin que le consultant soit en confiance, détendu si possible mais surtout à l'écoute de ce que je vais lui dire, ce qui est le cas la plupart du temps.

14. Avez-vous déjà rien ressenti, rien vue pour une personne qui était en consultation avec vous?

Pour l'instant, ça ne m'est jamais arrivé puisque je prends toujours soin d'effectuer des méditations afin de travailler à ma voyance mais peut-être qu'un jour ça m'arrivera....

Toutefois, un jour je me rappelle lorsque j'étais une jeune-fille et que je posais pour des photos, j'avais parlé de mon don au photographe, il me demanda : que vois-tu pour mon avenir? Je fis un tirage de cartes qui confirmait mes flashs et perçus de l'obscurité , du vide , je voyais du noir quelquechose de terrible.... Je lui répondis que je ne voyais rien mais quelle fut ma surprise quand j'appellais le lendemain pour avoir mon book de photos: sa femme me répondit qu'il avait été retrouvé mort d'une crise cardiaque dans son atelier de développement photographique.

15. Avez-vous déjà eu un moment de votre vie que votre don a disparu? Si oui, comment est-il revenu?

Mon don n'avait jamais disparu mais lorsque j'étais directeur des ressources humaines je l'utilisais moins. Toutefois il redevint plus fort lorsque j'eus à vivre uen expérience de mort imminente suite à un coma consécutif à l'explsoion d'une usine à proximité de mon lieu de travail. Suite à cet évènement, le fait de faire de mon don un métier s'imposa à moi comme une évidence.

16. Pouvez-vous voir le don d’une autre personne?

Bien sûr cela fait partie de mes affectations de ressentir le don d'une autre personne et je l'ai fait à plusieurs reprises.

17. Avez-vous de sujet que vous n’aimez pas aborder?

J'évite très fortement les questions du style: vais-je attraper une maladie grave ? Vais je mourir? Ou bien encore: " que dois-je miser au jeu"?

18. Pourquoi choisir un outil plus qu’un autre?

J'ai choisi les cartes car elles font partie du patrimoine culturel, d'une part leurs couleurs m'aident à me concentrer, par ailleurs à chaque fois que j'en tire une pour illustrer un flash j'ai très souvent l'impression de démontrer clairement la véracité de mon flash car en effet beaucoup de personnes qui s'intéressent à l'ésotérisme les connaissent et par conséquent peuvent avoir la preuve par l'image que je suis sincère avec eux dans mes prédictions.

19. Quel est le sujet qui vous passionne le plus?

Ce qui me fascine c'est la grande infinité de personnes qui nous consulte: contrairement aux apparences, beaucoup sont loin d'être vulnérables et sont prêts à entendre la stricte vérité c'est ce qui m'apparait le plus intéressant.

20. Comment vous sentez vous après une consultation?

Après une consultation je suis toujours un petit peu " vidée" car je me donne toujours à cent pour cent de mes capacités mais en même temps toujours très ravie car j'ai pû aider quelqu'un et en même temps prouver que je faisais bien mon travail. La satisfaction d'avoir effectué un bon travail est toujours une grande joie.

21. Y-a-t-il sujet qui vous prend plus de votre énergie en consultation?

En consultation, plus j'ai de temps devant moi pour effectuer une prédiction plus je suis à l'aise et peut gérer tout-à-fait calmement ce que j'ai à dire lors de la consultation.

Paradoxalement, lorsque le consultant n'a pû acheter que peu de crédits, et que de ce fait la consultation est plus courte, je dois faire plus d'effort de synthèse afin de pouvoir dire le maximum de choses en un minimum de temps, c'est cela qui me prend le plus d'énergie car davantage d'efforts doivent être fait pour aboutir à la même précision.

22. Êtes-vous capables de faire abstraction de votre don?

Mon don remonte aussi loin que je puisse me rappeler à ma plus tendre enfance. Alors bien-sûr pendant les premières années de ma vie professionnelle suite aux conseils de me mère qui m'avait mise en garde contre les préjugés qui existaient concernant le métier de voyant j'ai exercé un autre métier qui n'avait pas grand chose à voir les ressources humaines mais j'avoue toutefois n'avoir jamais fait abstraction de mon don car celui-ci n'étant pas un handicap mais plutôt un atout je savais au fond de moi qu'il fallait que je continue à la développer ma vie durant.

23. Qu’est-ce que vous diriez aux gens qui ne croient pas à la voyance?

A ces personnes qui ne croient pas en la voyance je dirai que je n'oblige personne à y croire mais je leur dirai aussi qu'il est facile de constater que les préjugés anciens sur notre métier n'ont plus court, ainsi on s'aperçoit que désormais beaucoup de personnes nous consultent, des personnes toutes très différentes culturellement et socialement.

Si le nombre de personnes qui nous consulte est en accroissement par conséquent il serait donc bon pour eux de réfléchir sur l'idée que ces personnes là si nombreuses ne nous consultent pas par hasard: nous sommes donc d'une aide efficace pour eux. Du coup peut-être serait-il bon qu'ils se renseignent davantage sur la voyance, s'ils le souhaitent et que je serais flattée de les informer si tel est leur souhait dans un futur proche ou plus lointain.

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